Le 14 juin après-midi, à l’invitation de Giorgia Meloni, présidente du Conseil des ministres de la République italienne, le pape François à la réunion des sept plus grandes puissances, à Borgo Egnazia, dans la station balnéaire des Pouilles, en Italie.
C’est une grande première, car aucun pape n’avait jusqu’à présent participé à un sommet du G7. Il y a rejoint les chefs d’État des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni, de la France, de l’Allemagne et du Japon. De nombreux pays non-membres ont été également invités à se joindre à cette rencontre. Le pape a pu rencontrer quelques-uns des chefs d’Etat présents.
Le pape a prononcé un discours sur l’Intelligence artificielle. Il a affirmé que cette nouveauté technologique appelle à une importante réflexion pour l’avenir, car il s’agit d’un « instrument extrêmement fascinant et redoutable », d’un « outil puissant dont l’utilisation influencera de plus en plus notre mode de vie ».
Les pays participants ont principalement partagé sur l’intelligence artificielle, mais aussi des sujets comme l’énergie, l’Afrique et la Méditerranée, les guerres en Terre sainte ou en Ukraine.